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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:34

 "C'est la plus belle connerie de ma carrière" dit aujourd'nui le plus célèbre publicitaire de France, à propos de cette Rolex qu'il avait érigée en passaqge obligé de la réuissite...

Mais il en est en revanche convaincu : la lecture de "l'Huamanité Dimanche" et de "l'Humanité" est un passge oblgé pour qui veut ouvrir "son horizon intellectuel".

Il témoigne, ainsi que nos lecteurs, de la place qu'occupent ces titres.

 

"L'HUAMANITE" ET" L'HD" SONT LES SPONSORS DE LA DEMOCTRATIE" Jacques Ségéla publicitaire

 

"Lexistence des deux titres, "l'Humanité "et de "l'Humanité Dimanche", est au-delà du nécessaire, INDISPENSABLE.

D'abord parce que ce sont des joiuranaux qui ne pensent pas comme els autres, qu'ils sont les sponsors de la démocratie, et que le pluralisme est vital à notre République.

Ensuite parce que ces titres ( et quels titres) existent parmi tout un tas de sitesd'information dévoyés et de jpournaux people qui ont perdu la mesure même du journalisme.

Lire "l'Humanité" et "l'Humanité Dimanche" ne veut pas dire que l'on approuve tout ce qui y est écrit, mais comment peut-on se faire une opinion en ignorant volontairement les opinions contraires?

Aujourd'hui, plus qu'hier encore, on réfléchit par réaction. Et si on se laisseavoir par la lecture toujours recommencée du même titre, on devient "monoculture", alors que nous vivons une époque où la culture n'a jamais été aussi ouverte.

Moi-même, je lis de temps en tempsces titres. Je me souviens même d'avoir participé à un débat avec Jean-François Kahn à la Fête de l'Humanité. Un très bon souvenir, laissé par mon interlocuteur mais aussi par le public dela Fête, son ambiance, sa diversité, qui font partieintégrante de cette espèce de kolkhoze de la révolte et de la modernité. Ce que l'on retrouve d'ailleutrs dans les colonnes de "l'Humanité". Le drame c'est que les gens qui critiquent ou refusent de la lire fondent leur attitude sur une espèce de  refus de principe. certains journaux, comme certains hommes, souffrent de leur réputation. Ce qui n'est jamais le cas d'une lessive ou d'une automobile. Non seulement cette réputation, injustifiée, nuit à leur expansion mais elle est nuisible à ceux mêmes qui s'y fient, qui refusentà cause de celà de lire ces titres, rétrécissant ainsi leur horizon intellectuel".

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BRUNO FORNACIARI

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