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26 février 2020 3 26 /02 /février /2020 05:24

Brillante

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25 novembre 2019 1 25 /11 /novembre /2019 11:00

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16 mai 2019 4 16 /05 /mai /2019 08:01
 
 
 
 

Madame Ernotte, 
C'est donc la 2e fois que je vous rappelle à l'ordre démocratique et républicain.
En effet où est "le respect d’un traitement équitable de l’expression pluraliste des courants de pensée et d’opinion», que vous impose le CSA, le pluralisme, l'équité, la déontologie journalistique, en relèguant le PCF qui compte, notamment, 7000 élus et 2 groupes parlementaires ? 
Quel pouvoir vous aurait-on octroyé pour orienter, selon votre volonté, les choix que devraient effectuer les électeurs le 26 mai prochain ? Les sondages dites-vous. Mais les sondages restent des sondages. En revanche, l'expression électorale de nos concitoyens a donné au PCF 3 députés européens 7000 élus locaux et 2 groupes parlementaires. La LFI ou Debout la France, ou même le RN peuvent-ils le prétendre ? Le PCF est le parti le plus actif sur le tertitoire, fort de ces 50 000 militants qui paient leurs cotisation, qui peut en dire autant parmi les invité-e-s qui se trouvent ainsi en premiers de cordée ?, tandis que le PCF se trouve injustement dégradé. Ce déni démocratique doit être annulé et faire place à la confrontation démocratique du débat qui doit prévaloir sur l'antenne publique. Non Madame Ernotte vous ne possédez pas le pouvoir de choisir a ma place, vous l'uzurpez. Je vous demande de revenir sur votre intention et d'inviter Ian Brossat tête de liste du PCF.

Cordialement

Bruno Fornaciari
Secrétaire de la section Thouarsaise du PCF

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12 mai 2019 7 12 /05 /mai /2019 08:29

"CGT France télévisions: Le rôle de France télévisions n’est pas d’anticiper le vote des électeurs

Le 22 mai prochain, France 2 organise un débat politique sur les élections européennes. Une fois de plus, les dirigeants du service public de l’information entendent orienter le choix des électeurs. Certaines listes auront droit au prime time, alors que d’autres, selon des critères qui ont toute l’apparence de l’arbitraire, seront reléguées en deuxième partie de soirée.
Même si, en période de campagne électorale, c’est la règle de l’équité qui doit s’appliquer, et non celle de l’égalité, l’impartialité du service public ne peut se résumer à une lecture particulière des sondages.
Les électeurs ont droit à un minimum de respect de la part d’un média public, dont le rôle est de renforcer la démocratie et non de la confisquer. Il doit également contre balancer des déséquilibres de temps de parole de plus en plus favorables à En Marche. Sinon, France télévisions risque d’apparaître comme une télévision gouvernementale, ce qui est le propre des régimes autoritaires, des démocratures et même des « démocraties illibérales » qui se répandent en Europe.
Selon les nouvelles règles du CSA, LREM aura droit à 56 minutes de clips, et le RN, 48 minutes. Un dispositif qui aboutit à reproduire le face-à-face qui a tellement profité au parti présidentiel qu’il entend le graver dans le marbre d’un organisme pourtant garant du pluralisme démocratique.
Pourquoi, dès lors, considérer comme candidat de seconde zone une tête de liste dont les meetings font salle comble ? Pourquoi traiter comme « petit » un candidat qui est pourtant considéré comme le plus populaire selon un sondage vite oublié ?
Les Français ont exprimé cet hiver leur méfiance à l’égard des médias audiovisuels, dont la crédibilité n’est jamais tombée aussi bas. Et pour cause, les règles déontologiques de base sont de moins en moins respectées, et le plus souvent dans un sens favorable au gouvernement, comme en témoignent les différentes infox qui ont gravement entaché le traitement médiatique des gilets jaunes.
Il ne faudrait pas qu’en caricaturant le débat de la sorte, France 2 détourne du service public des électeurs qui déjà, se désintéressent du scrutin européen et s’éloignent de plus en plus du jeu démocratique".

Jean-François Téaldi, ancien journaliste à France Télévisions et responsable syndical dans l'audiovisuel public."
Paris, le 15 mai 2019

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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 07:48

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 03:50

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2 avril 2019 2 02 /04 /avril /2019 14:34

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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 22:16
Madame Laurence Ferrari,
Je proteste contre la censure que vous organisez contre le candidat en tête de la liste Européenne présentée par le PCF. Aucune justification n'est recevable pour ce déni démocratique. Que vous assumiez cet anticommunisme ne vous donne aucun droit pour poursuivre dans cette voie attentatoire à la iberté d'expression et d'information. Chacun de vos invités représente une liste politique et des candidast. Aucune ne représente le PCF ni sa politique. Alors pourquoi cet oukase ? Avez vous la crainMadame te que les électeurs qui regarderont cette émission fassent connaissance Ian Brossat 38 ans, en tête de liste ? Craignez-vous que cette liste de rassemblement et diverse séduise des électeurs qui, jusque-là ignoraient que les ouvriers et employés en représentent plus de 50 % ? Redoutez-vous que les ingénieurs, les professeurs, les médecins, les écrivains, les artistes, les sportifs, les gilets jaunes qui la composent, la politique sociale, démocratique, écologique qui la sous-tend, intéresse, passionne, et reçoive des soutiens, des engagements et des votes. C'est sans doute cela qui vous conduit à refuser la partipation de Ian Brossat. Mais dans ce cas vous vous comporteriez comme un acteur engagé du débat politique, ce que la déontologie de journaliste vous interdit.Les téléspectateurs seraient privé du droit de voir et d'écouter le représentant du PCF. L'appartenance de votre chaîne à un groupe privé ne peut vous donner quitus d'une décision inique à laquelle je vous demande de sursoir' et de bien vouloir réviser en invitant, finalement Ian Brossat. Votre honneur, comme celui de la profession en en jeu. Ne laissez pas votre personne porter la marque indélébile de la censure d'un autre siècle et d'une autre civilisation.
 
Salutations démocratiques
 
Bruno Fornaciari
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17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 17:45
Dimanche prochain un communiste sera-t-il invité à votre émission politique de midi sur France Inter ?
 
Ali Badou reçoit Philippe Bertrand pdt de la région Haut de France pour des propositions qu'il fait pour dénouer la crise des gilets jaunes. Abaisser la TVA sur 100 produits de 1ere necessité en accord avec les grandes surfaces. Augmentation des salaires , NON dit Bertrand. Il propose un mécanisme pour retrouver une partie de 20 milliard de fraudes fiscles, sociales et évasion fiscale pourtant estimées à 10 milliards. Les riches ? faut pas toucher aux riches "car les riches donnent du boulot à ceux qui ne le sont pas. Ils vont plus souvent au restaurant, ils ont de grosses voitures qu'ils font réparer dans les circuits de garages, ils donnent du travail" s'exclame Phiippe Bertrand ex Minisitre RPR.
 
Au fait Ali Badou, les dirigeants et parlementataires communistes ont remis 10 propositions au 1er Ministre pour satisfaire aux revendications sociales et écologiques et sortir de la crise.
 
Les 10 propositions du PCF pour la France
Face au mouvement des Gilets jaunes, aux mobilisations populaires, le président de la République a dû ouvrir un grand débat national.
 
Celles et ceux qui se sont exprimés y ont porté un message clair. Ils disent vouloir vivre dignement et être respectés. Ils disent que le travail doit payer. Ils disent que les injustices sociales et fiscales sont une honte. Ils disent, à l’échelle de leurs quartiers, de leurs lieux de travail, qu’ils veulent pouvoir décider. Ils disent que la fin du mois ne doit pas être opposé à la fin du monde. Ils attendent des réponses fortes et ambitieuses.
 
Avec cet objectif, le Parti communiste français présente 10 grandes propositions pour l’avenir de la France.
 
POUR UNE VIE DIGNE ET ÉPANOUIE
 
1 Hausser le Smic (20%), augmenter les salaires et les minima sociaux. Contraindre les entreprises à l'égalité professionnelle femmes-hommes. Porter les retraites à 1400 euros minimum
 
La France est devenue un pays de bas salaires et de contrats précaires. Les femmes en sont les premières victimes. Et trop de jeunes se débattent avec des petits boulots sous-payés. Il est temps que l’État réunisse une conférence nationale pour les salaires, la reconnaissance des qualifications, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, le pouvoir d'achat des retraités.
 
2 Organiser un plan de lutte contre l’exclusion et la grande pauvreté. Rembourser les soins à 100%, indexer les retraites sur le salaire moyen
 
A la Libération, dans un pays dévasté, les Français ont conquis la Sécurité sociale et cela a contribué au redressement national. Aujourd'hui, quand quelques actionnaires et banquiers confisquent les richesses, la Sécu peut être consolidée et étendue. Et le système solidaire de retraites, fondé sur la répartition, doit être pérennisé et garanti.
 
POUR LA RELANCE ET POUR L’ÉGALITÉ
 
3 Lancer un grand plan d’urgence pour la reconstruction des services publics
 
Éducation nationale, hôpitaux, transports, petite enfance, énergie... : les services publics ne sont pas une « charge » mais un investissement pour l’avenir. Il faut en finir avec le dogme de la libre concurrence qui les détruit et fait de beaucoup de nos territoires des déserts. Il est urgent de les reconstruire au plus près des citoyens, et de recruter massivement des agents pour les faire fonctionner.
 
4 Nationaliser une grande banque privée, au service de l’emploi, de la renaissance industrielle, de la transition écologique
 
Les banques financent massivement la spéculation, les délocalisations, l’évasion fiscale, les investissements polluants. Les crédits doivent au contraire aller, avec des taux très bas, aux investissements qui créent des richesses et des emplois, qui développent les biens communs. La nationalisation d’une grande banque privée serait un levier important en ce sens.
 
POUR LA PLANÈTE ET LE CLIMAT
 
5 Prioriser les transports collectifs publics, avec extension de la gratuité pour les transports locaux. Doubler la part du fret ferroviaire, contre le tout-route
 
L’humanité est en péril. La production et les services doivent donc être réorientés vers un développement social et écologique. Cela passe par une effective priorité aux transports collectifs publics, décarbonés et accessibles à toutes et tous. Il faut en finir avec les politiques qui encouragent le transport routier au détriment de l’exigence écologique.
 
6 Rénover énergétiquement un million de logements et les bâtiments publics
 
Pour lutter contre le dérèglement climatique, il ne suffit pas de signer les accords de Paris puis de passer à autre chose. Il faut s’en donner les moyens. Une grande politique publique en faveur de la rénovation énergétique des logements et établissements publics serait une première avancée. Ce serait aussi un levier pour l’emploi et la relance de l’économie.
 
POUR LA JUSTICE FISCALE
 
7 Supprimer la TVA sur les produits de première nécessité, rendre l’impôt plus juste et progressif
 
Les impôts non progressifs (TVA, TICPE, CSG) représentent 67% des recettes fiscales. Les petits paient plus que les gros. Il faut les supprimer (TVA sur les produits de première nécessité) ou les abaisser fortement. L’impôt sur le revenu doit être calculé sur 9 tranches (contre 5 actuellement). L’impôt sur les sociétés doit devenir plus progressif, et être modulé selon les politiques d’emploi et d’investissement des entreprises.
 
8 Rétablir l’ISF, taxer les dividendes. Atteindre le zéro fraude fiscale. Supprimer le CICE et réorienter cet argent vers les PME et TPE
 
Une redistribution juste et efficace des richesses, c’est possible. En rétablissant l’ISF (4 milliards d’euros), en taxant les revenus purement financiers des entreprises et des banques (47 milliards), en agissant enfin contre l’évasion fiscale (80 milliards). Le CICE, qui ne crée pas d’emplois et est accaparé par les actionnaires, doit être supprimé et son montant (40 milliards en 2019) affecté à des prêts aux PME et entreprises qui investissent et créent des emplois.
 
POUR UNE RÉPUBLIQUE D’INTERVENTION CITOYENNE
 
9 Rendre le pouvoir au Parlement contre la monarchie présidentielle. Instaurer un référendum d’initiative populaire. Mettre en place des pouvoirs décisionnels des salariés à l’entreprise
 
Les citoyens veulent pouvoir décider. Diminuer les pouvoirs présidentiels, c’est doter le Parlement de nouveaux pouvoirs pour représenter mieux le peuple, et c’est aussi restituer aux collectivités locales les moyens d’agir. 500 000 électeurs doivent pouvoir faire soumettre à référendum des lois sur l’organisation des pouvoirs publics ou la politique économique et sociale. Les salariés ont besoin de nouveaux moyens d’intervention sur les choix des entreprises, à commencer par un droit de veto et de contre-propositions face aux plans de licenciements.
 
 
 
POUR EN FINIR AVEC L’AUSTÉRITÉ EUROPÉENNE
 
10 Sortir du pacte budgétaire européen : priorité aux dépenses sociales et écologiques
 
Les besoins vitaux des peuples et les impératifs écologiques ne peuvent plus être corsetés par un pacte antidémocratique, obsédé par l’équilibre budgétaire à n’importe quel prix et la réduction des dépenses publiques. C’est de coopération pour des dépenses d’avenir, socialement et écologiquement utiles, dont nous avons besoin, avec une Banque centrale européenne finançant à 0% un fonds européen de développement solidaire.
 
Dimanche prochain, Ali Badou, un communiste sera-t-il invité à votre émission politique de midi sur France Inter pour faire à votre antenne ces 10 propositions ?
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13 mars 2019 3 13 /03 /mars /2019 20:48

Madame la Présidente,
Ça suffit la censure du Parti communiste Français. Ce n’es pas la première fois que les dirigeants, les élus, les candidats sont écartés des émissions politiques sur l’antenne publique. Antenne publique cela veut dire nécessairement pluralisme. On est loin du compte, c’est tout le contraire. Vous décidez quel est le parti, quels sont les dirigeants qui obtiennent le droit (décidé par qui, comment et sur quels critères) de s’assoir dans vos studios et d’obtenir le droit de parole. Je suis de nationalité française, je suis électeur, je suis militant du PCF depuis plus de 50 ans. J’ai travaillé toute ma vie et cotisé, payé tous mes impôts dont certains financent votre télévision ainsi que la redevance que je paie aussi, depuis toujours.
Le parti qui est ostracisé, et aujourd’hui censuré est fort de 56000 militants qui cotisent pour faire vivre le parti qui met en oeuvre la politique qu’ils ont choisi de faire partager. Les électeurs lui confient la direction de municipalités, la présence dans les conseils départementaux, régionaux. Avec le PS, le PCF est le seul, à gauche qui peut compter deux groupes parlementaires. Un à l’Assemblée Nationale, l’autre au Sénat qui comporte une majorité de femme, qui peut en dire autant ? Vous offrez, sur vos antennes,  la parole de façon très inégale aux représentants de l’opinion publique et des partis politiques reconnus par la constitution. C’est déjà en soi une injustice. Car cette différence de traitement est décidé dans le choix personnel et politique des directions de l’information de France Télévision que vous présidez. Ce n’est pas votre rôle de choisir à la place des électeurs ou des téléspectateurs les orientations politiques de chacun. Votre rôle, avec le bel outil de communication, de pluralisme et de liberté que devrait être notre télévision, serait plutôt d’élever la culture, les réflexions, le discernement; la tolérance et le débat libre et ouvert sur toutes les questions qui concernent les citoyens, les travailleurs.
Au lieu de cela vous « idéologisez » la présence et les thèmes sur vos plateaux, les sujets, les « experts et les commentaires. Une véritable « guerre idéologique » qui n’a que trop duré.  Les choix que devront faire par leurs votes le 26 mai prochain lors des élections européennes doit être éclairé. En écartant la tête de liste communiste Ian Brossat vous commettez une forfaiture, un déni démocratique.
Je vous demande de revenir sur cette décision inique et de me confirmer, par retour, la présence effective de Ian Brossat  lors de l’émission présentée par Léa Salamé comme les 6 autres représentants de listes qui ne possèdent pas tous, ni le nombre de militants ou d’élus que le parti communiste Français.

Recevez, Madame la Présidente, mes respectueuses salutations.

Bruno Fornaciari

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BRUNO FORNACIARI

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